Dolce Empired V1.3
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Dolce Empired V1.3

Petit Cheval, qui vient d'arriver sur ces terres. Quel clan choisiras-tu ? Seras-tu un Cheval ou bien un Vampire assoifé de sang ? Choisis bien ton clan, Petit Cheval...
 
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 La Déesse Gaïa.

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Gaïa.
Grande Chef. =)
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Gaïa.


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Age : 29
[ Famiile. ] : Tous ces chevaux qui peuplent ce Monde, sont mes enfants ! Ne craigniez, je vous sauverai...
[ Sexe. ] : Déesse des Chevaux...
Date d'inscription : 02/05/2009

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MessageSujet: La Déesse Gaïa.   La Déesse Gaïa. EmptyDim 3 Mai - 21:59




  • << Gaïa. >>



    Chaque être ayant une once d’humanité coule dans ses veines, ce sang royal et pur. Chaque poussière qui s’envole avec la brise n’est autre qu’un fruit majestueux de cette Divinité. Chaque larme qui scintille dans ce Cosmos, n’est autre qu’une larme de cette blessure. Chaque rayon de soleil, est un sourire vers un futur prés d’Elle.



    Elle, Elle, qui berce le Monde de son regard étincelant de compassion, délicatement, Elle souffle une brise légère qui apaise la douleur de ce Cosmos, trop longtemps abandonné à son sort, à cet ennemi, à ce frère Nérull... Dans ses prunelles, se reflètent cet amour maternel qu’Elle porte envers ce Monde, dont Elle en est la Mère. Depuis la nuit des temps, Elle le surveille, le protège de cet intrus imbu de lui-même, se bat pour que ses « enfants » puissent survivre à cette guerre. De son nuage scintillant de générosité, Elle règne sur cette contrée, guide ses fils et filles qu’Elle nomme « chevaux », du chemin de la naissance à celui de la mort, où Elle ne les abandonne pas, mais les pousse vers le Paradis où Elle domine en seul maître, loin de ce Nérull.



    « Gaïa », terre, la Déesse n’est autre que la fille du plus grand des Dieux, la divinité excellente, Zeus, et de la plus belle beauté époustouflante à la robe blanche immaculée d’étoiles, Vénus. Descendante du Dieu des Dieux et de l’immortelle beauté, la Déesse blanche eut un frère, alors qu’elle arborait avec le temps un corps fin et musclé d’une demoiselle resplendissante de magie, une robe d’ivoire d’une couleur sans égale à celle de l’écume des vagues, qu’Elle dompte de ses naseaux charbonneux et veloutés de bonheur, une crinière valsant au grés de la Brise de son ami d’Eole, un seul, qui à lui seul fera gité le Monde… Nérull, il se prénommait, il était l’être à l’opposé de sa sœur, sa robe colorait d’un noir de jais, n’était que l’éclipse en plein jour, ses yeux dorés dansaient au gré des flammes, ses sabots claquaient sur le sol tremblant dans un vrombissement infernal. Il était possédé par le Mal. Elle incarnait le Bien.



    Nérull et Gaïa. Mort et Vie. Feu et Eau. Malheur et Espoir. Amour et Haine.



    Gaïa l’avait aimé, comme Elle aimait ses fils et filles, la Déesse blanche prenait sa défense lors des disputes interminables entre divinités, jouait avec son petit-frère, se disputait avec Lui, tel deux poulains heureux de se dégourdir les jambes dans les coquelicots tout en jouant à un de ces jeux farfelus. Mais, rien, aucun oracle, ne pouvait laisser entendre le Destin tragique qui se hisserait entre le frère et la sœur… Rien… Mais qu’y-a-t-il derrière « rien » ? Il y a « tout »…



    A la nuit de son deuxième millénaire, comme l’exigeait la tradition. Gaïa se rendit au Temple d’Olympe, où la Déesse devrait exercer ce Rituel qui persistait depuis le big-bang. Une fête y était organisée à son nom par son père. Cette soirée-là, la Blanche devait recevoir son « Monde », celui qu’Elle guidera tout au long de l’éternité. Nullement, inquiète de ne pas y voir son frère qui n’avait encore que quelques centaines d’années, elle en tira la conclusion qu’il devait être allé courir les jupons ou bien, entraîner sa magie du feu. Or, la tradition voulait que frère et sœurs guident ensembles le même monde, dont Gaïa, l’ainée mais seule, le nomma : « Dolce Empired », le Doux Empire. Ce Cosmos était devenu par le suite un monde peuplé de chevaux tous plus beaux les uns que les autres. Aucune magie, n’y résidait, juste celle de Gaïa, celle de l’eau qui annulait le Feu. Plusieurs millénaires s’écoulèrent sans soucis, la Déesse blanche devenait de plus en plus puissante chaque jour, tandis que son frère avait disparu étrangement. Nul, n’avait eu de nouvelle de Nérull, Gaïa laissant son inquiétude passait outre, Elle tomba amoureuse d’un robuste étalon blanc, dont elle ne connaissait le nom. Ce dont, Elle savait, c’est qu’il n’était qu’un simple mortel. Gaïa eut une fille de lui, magnifique et d’une beauté sans égale, elle se nommait : « Winter Queen. ». La Reine de l’Hiver, qui à son tour eut deux fils, des jumeaux, le plus vieux Typhon et le plus jeune de quelques minutes Ashitaka. Typhon et Ashitaka. Le disciple de Gaïa et l’esclave de Nérull.



    C’est à cette période, que Nérull choisit pour réapparaître, alors que Gaïa veillait sur son Monde, Dolce Empired et sur son père, Zeus. La Déesse blanche rencontra son frère à l’Olympe. Elle y venait pour y rencontrer sa mère, et justement parler de son frère, qui venait de se déguiser sous leurs yeux, vite, trop vite pour un simple Dieux, ses mouvements étaient trop fluides et limpides pour qu’ils appartiennent à une divinité. La Déesse d’Ivoire surprise par la lueur dorée qui dansait dans les prunelles de Nérull, telle des flammes qui léchaient la buche de l’arbre qui venait d’être abattre, ne put se résigner à répondre d’un « oui » conquis à cette question mortel : « Veux-tu partager Dolce Empired avec moi, ton frère Nérull, je créerai mon propre clan, le mien. » Vite, trop vite, Gaïa avait répondu, subjugué par ce regard plus que foudroyant, ne voulant accepter la vérité qui se dessinait devant Elle, Elle avait donné sa réponse pensant que le bonheur persistera, or ce ne fut jamais le cas…



    Gaïa s’était concertée avec sa mère et son père longuement, qui celui-ci lui avait donné l’ordre le plus cruel alors qu’il était assis sur son trône de marbre, et de ses chevaux de mer dorés. La Déesse se souvenait encore de cette voix grave, qui avait résonnée sous les colonnes du temple d’Olympe :



    « Il était mon fils, aujourd’hui il n’est plus rien, il n’est qu’un misérable vampire ignoble ! Et c’est pourquoi, moi Zeus, ordonne qu’il soit abattu sans retenu et si possible par sa propre sœur ! »



    Gaïa avait acquiescé, or, Elle s’était promise à Elle, et lors de cette deuxième rencontre dans ce palais où vivait Zeus, alors que Nérull avait tenté d’assassiner le Dieu des Dieux. Leur regard s’était croisé, la haine figurait mais l’amour résidait :



    « Tant que tu resteras sur Dolce Empired, tu vivras, je te le promets mais le Jour fichu où tu mettras les sabots hors de mon Monde, je te tuerai. Je te le jure. »



    Nérull, lui avait rit au nez, tandis qu’Elle perdait toute l’estime qu’Elle avait gagné, or, son frère avait tenu sa promesse jusqu’au jour où Dolce Empired se divisa en deux, juste après cette morsure, ce déclin de ce frère, Ashitaka, d’un côté les Chevaux de l’autre les Vampires. Gaïa observait de son nuage argenté, le déclin de son Monde, ses deux petits-fils s’haïr et se détester, mais surtout cette histoire d’amour tragique qui ne fit que déchirer beaucoup plus son Monde à elle, ce Dolce Empired…

    Qui pourra sauver ce Monde ?
    Quand régnera la douceur ?

    Lo jour où les deux frères riront ensembles...


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