Dolce Empired V1.3
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Dolce Empired V1.3

Petit Cheval, qui vient d'arriver sur ces terres. Quel clan choisiras-tu ? Seras-tu un Cheval ou bien un Vampire assoifé de sang ? Choisis bien ton clan, Petit Cheval...
 
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 Ashitaka.

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AuteurMessage
ASHITAKA.
F0NDATRiiCE.
F0NDATRiiCE.
ASHITAKA.


Nombre de messages : 904
Age : 29
Humeur : Amoureeeuse. ♥
[ Famiile. ] : Saleté de frère de Typhon, crois-tu que je te hais ? Tu te trompes... Je te déteste...
[ Sexe. ] : Mâle, vampiire! =)

Date d'inscription : 16/11/2008

Feuille de personnage
[ Relati0n. ]:
[ Clan. ]: Brrr. Je suis le Maître des Vampires. x Chevaux.
[ P0uv0ir. ]: Aucun, si ce n

Ashitaka. Empty
MessageSujet: Ashitaka.   Ashitaka. EmptyMer 6 Mai - 20:14


  • #. ASHiiTAKA.

    Petit poulain, je fus.
    Vampire, je serai.


    Nom :
    Ashitaka.
    Surnom :
    Je ne n'en ai jamais eu.
    Age :
    Je suis déjà mort. Etrange ?
    Race:
    Pur Race Espagnole.
    Robe :
    Grise.
    Sexe :
    Vampire - Mâle.

    Caractère ( minimum 2 lignes ) :

    Pour définir Ashitaka, il faudrait user d’un silence affolant ou le comparer au nombre pi. En effet, les mathématiciens ont démontré que chaque nombre s’établissait dans une suite et un ordre prédéfini, il y aurait donc une logique. Or, le nombre pi ne possède aucune suite dites logique, les chiffres se défilent les uns après les autres sans début ni fin, il n’est donc pas dialectique, mais certains le définissent comme logique par sa suite illogique. Bref, dans tous ces propos, le nombre pi, est un nombre complexe tout comme Ashitaka.
    Or, si vous usez d’un silence affolant face au Maître des Vampires, il prendra votre réponse pour un signe de terreur. Que faudrait-il alors répondre ? Que faudrait-il montrer ? Il vaut mieux tout bêtement l’éviter. Car lorsque vous entendez le bruit de ses sabots claquaient sur le sol, dans un boucan infernal, vous êtes parcouru de tels frissons que Ashitaka les ressent et se délecte de vos sentiments. Effrayant, il est, lorsqu’il prend la parole et vous répond de sa voix grave, mais il surtout terrifiant par la force qui émane de son regard doré. On peut y entrevoir à la fois le feu ardant des enfers mais aussi celui de la glace qui se consume par les flammes, un chaos ignoble qui se défile sous les yeux des Dieux. Le Maître des Vampires n’est autre que le symbole parfait de la mort atroce, il vous suit sans un bruit, faisant âme avec la Nature, danse un tango sensuelle avec la brise et murmure des chants étranges sonnant à la note la plus véridique, il se glisse derrière vous… Et prend plaisir à vous ôtez la vie. Qu’il aime le sang coulait dans sa gorge, le seul moyen de l’apaiser de ses blessures tourmentes !
    L’amour, jamais il ne l’a connu, à vrai dire qui la portait en son cœur ? Personne, n’y même son frère, Typhon. Ashitaka réfute tellement modestement, que malgré sa beauté époustouflante même une jument vampire ne voudrait s’aventurer à le charmer et ne parlant pas d’une mortelle…
    Dominer, est son mot favoris, le Maître apprécie fortement de ressentir la puissance qu’il exerce sur ses disciples, de toute façon un seul faux pas de ses vampires, et Ashitaka ne se gênerait pas d’infliger les plus durs des blessures ou même d’aller en discuter avec son Dieu, Nérull, avec qui il bavarde souvent.
    Bref, Ashitaka est un être part qui déteste les petites choses banales de la vie, il ne prend pas plaisir à transformer les gens, ni à les voir souffrir, ce dont juste il apprécie c’est le sang, une drogue qui lui est devenue irréfutable. Mais malgré tout, il garde au fond de lui, le plus grand des rêves, celui de recommencer tout, de revenir au début, de revoir cette jument blanche, d’effacer ses mauvais pas, et de repartir sur la bonne route… Mais tout cela est impossible, tout comme aimer…


    Histoire ( minimum de 5 lignes ) :

    Huum. Mon histoire est courte, très courte, puisqu'elle s'arrête le Jour où j'ai sentit mon sang s'évadait le long de mon encolure massive, mais je vais laisser plutôt la place à ceux qui m'ont plutôt vu << vivre >>. Que je hais ce mot !

    O_o.

    Ce jour-là, les coquelicots étaient fleuris, le ciel d'un bleu parfait planait sur le toit du monde, tandis qu'une fine brise soulevait du coeur d'Eole. La Magie apparaissait doucement, comme les tulipes le long des ruisseaux. Une jument, d'un blanc pur parcourait cette terre qui porte le nom de Dolce Empired. Elle n'était pas seule, Elle était suivie d'une silhouette robuste, massive et d'un noir de jais si profond qu'il aveuglait. L'eau et le feu était réunit. Etrange ? Non, magique... Winter Queen, était le nom de sa mère, mit bas sous le regard attendrissant du puissant Calico. Un petit museau apparût, d'un gris-clair, vite téméraire, il se prénommait : << Typhon >>. Typhon, le premier, Typhon, le grand. Or, quelques minutes se passèrent qui suffirent à séparer deux vies. La Lune venait d'aparaître dans le Ciel alors que siègeait encore à l'ouest l'oréole du Soleil. Dans la voute céleste, un entremelé de sentiments et d'éléménts. Des naseaux veloutés rabrouèrent l'air, Typhon ne serait pas seul à gouverner plus tard ? Oui, sous les rayons des jumelles naissait un deuxième poulain, un jumeau, le second, le plus petit. Dans ses prunelles vivaient déjà un autre sentiment, plus faible mais plus terrifiant. Poulain, il fut... Le Petit Gris, comme le nommait son père apparut telle une illusion sous les prunelles de son frère. Ils étaient deux, deux à s'entraider mais s'affronter...

    Le Petit Poulain, portait à ce Jour, un autre nom, plus : << Equidé >>, qu'il réfuta ce Jour, où il mourra. Or, seul, aujourd'hui en connait l'existence n'est autre que son frère. A cette époque, il portait le nom de : << Eros >>.

    O_o.

    Huum. Raconter son histoire, n'est chose simple, puisqu'elle est courte, trop courte. Vite, trop vite, il a compris...

    O_o.

    L'enfance. L'insousciance. Un monde magique berçait de rêves et cauchemars, trop vite, le Petit Gris vit aparaître la Fin. Trop vite. La Fin, avec son << F >> majuscule, s'était dressée, lui barrant le chemin de la Vie, mais malgré cette histoire tragique, il eut quelques mois dans sa pauvre destinée quelque peu sympathique.
    Ses journées, se déroulaient prés de son frère, le grand, le plus vieux, à jouer à tous ces jeux futiles qui sont censés créés notre esprit, or, ils n'ont fait que l'enfoncer dans le gouffre dans lesque il pénétrait. Parfois, il arrivait que les jumeaux se disputent, mais jamais jusqu'à aller à se battre. Les mots fusaient, blessant. Le Petit Gris s'évadait alors dans le désert où il prenait goût doucement à la solitude. Mais, vite, ils se pardonnaient et vite, ils partaient reconquérir ensembles le Monde. Ensembles, ils avaient tout vécu, tout appris par l'éducation trés sévère que leur portait le Père. Il fallait conduire plus tard Dolce Empired, mais déjà la question se posait pour le petit Poulain. Qui sera le Chef ? Nullement, l'interressait de lui laisser la place, il faudrait alors diriger à deux, ensembles ? La question s'effaçait trés vite, lorsque Typhon venait l'inviter à leur jeu favoris : celui d'attraper des crapauds et de les envoyer dans le lac...
    Mais plus les jours passaient, plus la haine grandissait en Lui, peu à peu, il comprenait. Typhon, était le premier, le plus aimait de son père, malgré sa mère qui tentait de le réconforter. Non, le frère était le préféré, le plus intelligent, le plus conquérant, mais le Petit Gris, lui possédait la force physique, en effet il était le plus fort et le plus puissant, sa beauté était égale à celle de sa mère, une rumeur courait comme quoi sa grand-mère serait aussi magnifique et elle-même fille de la Déesse Vénus ? Une rumeur, seulement...
    Sous le regard de la Lune, sous laquelle il passait des heures à tenter de trouver une solution à cette vie, son regard changeait, prenait une autre allure, plus dure, plus mure. Le Petit Gris, avait compris, jamais il n'aurait le pouvoir, jamais il n'aurait l'amour de son père, jamais il n'aurait sa magie aussi puissante que son frère... Jamais. Il n'est que le deuxième, le second, le plus beau et le plus fort possédant le moins de neurones. Cruel vie, sort injuste ? Mais la question n'était pas là comment survivre ?

    O_o.


    Les heures passaient à se défaire de cette famille trop royale, à s'évader vers les montagnes, rouler dans la chaleur du désert, profiter de la mer en été à l'heure qu'on veut, quand on veut, devenaient des journées. La solitude l'avait domptée, elle était devenue son ami, aujourd'hui elle lui manque. Le Petit Gris, dans ses moments en solitaire, n'avait plus à comprendre pourquoi il ne fallait pas toucher aux baies roses mortelles, se mouiller trop tôt ou trop tard, se comportait avec politesse, ne pas aller dans le désert durant les heures où le Soleil figure à son sommet. Non, il n'avait pas à comprendre, comprendre pour lui, n'était autre que synonime de se soumettre à une règle conforme. En solitaire, il se sentait libre, fort, beau, intelligent, différent il n'était le plus le second, le Petit Gris. Il était Lui, le Grand...
    Vite, il comprit comment la nature fonctionnait, il se mit à l'adopter à penser comme elle, à survivre comme elle peut, à la loi du plus fort. Mais un Jour, tout changea...

    O_o.


    Huum. Cette partie est à moi, car c'est ce Jour-là que j'ai vécu, je me suis sentit vivre pour la première fois... Laissez-moi parler et vous vivrez...

    O_o.

    Il y avait une lumière, ou plutôt deux, dorées, elles dansaient dans le noir complet, elles semblaient magiques et irréelles. Belles, elles étaient, deux étincelles perdues dans l'océan glacé de la Carrière de sable rouge. L'envie de m'approcher m'empara, l'envie de les attraper, des les adopter, d'agir de même façon. Secrétement, je m'était avancé, le sable s'incrustait sur ma robe grise, mélange de noir et blanc. L' anxiété était au rendez-vous, mais une autre odeur l'accompagnait différente, plus subtile, plus fine. Son parfum trémoussa dans mes narines , il était esquis, sentait les milles et un rêves de l'univers, mais il y avait derrière sa touche fruité, un autre plus délicat qui se dessinait de plus en plus vite à chaque foulée qui s'esquissait derrière lui. La parfum exotique, m'ennivrait, la sirène de son chant mélodieux m'avait attiré dans la gueule du loup. Etrangement, je n'avais pas peur, au contraire, jamais je ne m'étais sentit si bien, si serein, la brume qui planait sur la carrière m'accueillait ouvertement vers un autre Destin. De longs frissons parcouraient mon corps, mais je les ressentais comme une drogue apaisante qui paralysait ma haine. Pour la première fois, je me suis mis à aimer mon frère, le premier, le plus intelligent. Je voyais devant moi, un carrefour apeurant, l'idée même de prendre la mauvaise route me terrifiait. Devant moi, se dessinait celui qui longeait le ruisseau doré, ou celui qui menait au Désert...
    Un cheval galopait, non, une jument. Elle semblait voler par dessus le sable, ses sabots heurtaient avec un silence vertigineux le sol, ses crins d'un blanc pur déguisaient ses yeux, tandis que son corps fin se mouvait dans l'air. Elle semblait irréelle, magique. La beauté qui émanait de son corps ébahie mes yeux, je ne pouvais me détacher de son regard qui m'incitait à me guider vers elle. Délicatement, Elle plissait ses lèvres, et murmurait un mot qui résonna à mes oreilles froidement, pourtant pour la première fois il m'était apparu si familier et non avec ce voile étrange qui me pourchassait. C'était mon nom, qui glissait dans la Brise. Je m'étais approché tentant de m'accrocher au mirage. Mes chaque foulée m'éloignait d'Elle, le long de son visage ruisselait la Pluie, des rubis s'envolaient dans les airs, Elle pleurait... et Elle s'effaça...
    C'est là que je compris à cet instant même, que je m'étais engoufré dans le gouffre profond, qu'Elle avait tenté de m'aider. Oh ! Comme je ressentais dans son regard l'amour qu'Elle portait envers moi ! Mais je n'ai pas osé m'avouer qu'il y avait bien quelqu'un dans ce Monde qui voulait m'aider, oui, je n'avais pas compris, compris qu'Elle était ma seule aide, compris que c'était la Déesse en personne qui était venue me secourir, ma grand-mère, Gaïa... Comprendre.
    Il m'était alors trop tard pour rebrousses chemin, je ne pouvais plus qu'avancer et attendre. Les lumières s'étaient soudainement éteintes, le Soleil s'était effacé même la Lune n'osait percer le Ciel nuageux. Au loin, régnait le bruit affreux des corbaux, et devant moi, dansait toujours ses deux lumières dorées qui me rassurèrent aussitôt. Je me souviens encore, qu'en ce moment précis, je m'étais mis à sourire et à rire bêtement. Pourquoi ? Parce que je venais de comprendre que l'odeur majestueuse qui planait n'était autre que celle de ma propre Mort...
    La Grotte venait de se refermait sur moi, le claquement des gouttes sur le sol était infernal, mais il régnait toujours cette brise, le vent du lendemain. Puis, brutalement, le chaos fut, ni la nuit, ni le jour n'existait, seul Nerull persistait. Il m'était apparu à son tour comme Gaïa, et il m'avait parlé de sa voix rassurante, j'aurais cru mon père à sa beauté mais ses prunelles dorées me chuchotaient qu'il était mon vrai père et non ce Calico, bon pour les pouliches. Ses disciples tous dorés sortirent de leurs cachettes et dévoilèrent leur visage devant moi. Ils étaient beaux, forts, intelligents, mais surtout immortels...
    Une question, m'avait été posée, une seule...

    << Eros, tu es le fils des dominants. N'est-ce pas ? Mais il y a cet abrutis de frère, Typhon ? Tu veux le pouvoir, tu veux gouverner ? Tu veux montrer que tu es le plus fort ? N'est-ce pas Petit Gris ? >>

    Comment connaissait-ils toute ma Vie ? Comment ? Tant de questions se défilèrent devant moi, que je redoutais de répondre non. Il m'offrait le pouvoir, je n'avais qu'à m'avancer. Mais ce Jour-là, je n'avais pas répondu, je les avais juste regarder en face, et dans mes yeux, j'avais défié Nerull...

    Vampire, il sera...


    Je sentis mon sang s'évadait. Mon esprit se cloisonnait. Un cadenas se refermait en moi-même. Mon amour s'entretuait avec ma vie. Mais je voyais cette force qui conquérait mon ancien moi. J'étais différent, j'étais Moi, Moi...

    << Ashitaka. Signifiant le Maître des Instruments de la Mort. >>

    O_o.

    Ensuite, je ne souviens de rien, ni du jour où je lui ai retiré la vie, ni le jour, où je suis devenu le Maïtre.
    Pourquoi ?

    Parce qu'il y a des souvenirs que l'on oublient...

    Clan :
    Maître des Vampires.
    Pouvoir : ( Aucun pour les Vampires. )
    Aucun si ce n'est je te TRANSF0RME.

    What a Face What a Face What a Face What a Face

    [b]As-tu signé le réglément ?

    Je l'ai écrit. =)
    Seras-tu actif ?
    Huuum. Jamais, je m'en vais.
    Comment trouves-tu le forum ?
    Horribleuh ! Mais non !
    Comment l' as-tu connu ?
    Je l'ai mis au monde ! x'D
    Avis :
    Merci pour tout ma Typhonne ! I love you



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