La Mort est un beau voyage. Mais la Vie est un cauchemar.

#. La Mort est un beau voyage. Mais la Vie est un cauchemar.

DarkStorm. & Ashitaka.

Veux-tu danser avec moi.

Au loin, ou bien au début de la fin, se répendait une odeur alléchante celle de la Mort. Magique et tendre, elle s'abattait sur le paysage cristalisé de la brume du crépuscule. Ah. Le crépuscule, le moment où le Soleil se décline face à la Lune, approuvant la vérocité de l'Astre de la nuit, face à celui du Jour. La seconde où les prédateurs se faufilent sur les sentiers dans le seul but de chasser, la minute où les proies tentent de désespérement de se cacher dans un trou ou dans un tallis de feuilles mortes. Brrr. Bref, le Temps où la Vie s'arrête, et la Mort reprend le cours du temps... Peut-être est-ce le seul moment auquel Lui, pourrait ressentir une once de vie en son corps ? Non, la Vie n'existe plus, elle s'est effacée vers d'autres cieux, elle est irréelle, tout comme ses pas qui se défilent derrière Lui. Ses foulées semblent si majestueuses, serait-il Nérull ? Oh. Non ! Il n'est que son fidèle serviteur. Sa robe n'est pas assez charbonneuse, elle n'est que le mélange du blanc et de noir, un gris, rapidement réfutable, qui se dessine en constraste prés du rouge flamboyant du sang. Ce liquide rougeâtre, qui anime le corps, permet les mouvements, les pas de danse, la réflexion, la Vie... Or, Lui, ce liquide s'est enfuie le long de son encolure. En, Lui, ne coule plus que la répugnante salive de la Mort.

Etrangement, la Jour n'arrivait pas à prendre figure face à la Nuit. Il régnait toujours dans l'atmosphère cette ambiance morbide, que la Mort vous attend au coin de rue. Or, aujourd'hui, ce n'est pas l'Ange Noir muni de sa faux qui vous cueillera, mais Lui... Il vous plantera ses crocs dans votre gorge, et sourira au breuvage qui glissera en sa gorge, cette chaleur si glacée tentera de réchauffer son petit coeur qui a explosé aussi divinement qu'une supernova en se rétractant sur elle-même. Or, Lui, son coeur ne pèse pas des milliers de tonne, il ne pèse que quelques millièmes de grammes, la dernière once de Vie qui est restée en lui. Mais où vit ce dernier reste ? Où est-elle cachée cette dernière miette ? Loin, trés loin, dans l'Erèbe profonde, dans les ténébres infernales, prés du noyau de la Terre, Il l'a enfermée, cette dernière miette accompagnée de ses beaux sentiments, de ses émotions futiles, dans un coffre en titane, et Il a jeté la clef, loin trés loin, dans la lave...

Le bruit d'une bulle version géante éclata et résonna dans cette atmosphère étouffante. Prés de la masse grisâtre dégoulinait étrangement des boules rouges, qui à la surface se formaient une croûte, noirâtre. Elles semblaient rouler l'une sur l'autre dans un boucan sournois, et emportaient sur le passage gluant tout. Sans exeption, les bulles brûlaient tout, rendant des cailloux de vulgaires poussières, les branches des arbres, de ridicules batons, mais majestueusement, le coulis rougeâtre L'évitait, il se contournait, s'enroulait, là où il posait avec délicatesse ses sabots d'un noir terrifiant. Il ne craignait ni la chaleur de la lave, ni les bulles qui explosaient. Lui, il ne ressentait plus rien, le chaud pourrait être glacé, et la glace brûlante, il n'aurait remarqué de différence, il aurait simplement entonnait de sa voix grave, que ces bulles ne sont des choses inutiles qui ne servent à rien. Ah ! Qu'il aurait aimé vivre sur la Lune, là-bas, on peut surveiller la Terre et les autres sans se souciaents de la vue, se sentir à la même hauteur que les Dieux, mais surtout ne pas ressentir la violence entre le Jour et la Nuit. Là-bas, ou dans son corps, le Jour n'existait pas, la Nuit était le rituel parfait de la Mort. L'Astre de la Nuit, tournoyait sur elle-même, ainsi qu'autour de la Terre et du Soleil et des autres galaxies, sans se soucier du Jour et de la Vie, elle accomplit alors son beau voyage, là où la Mort régne en seul maître...

Mais, ici dans le Monde de la Vie, c'est Lui, le Maître... Lui, et ses yeux dorées qui scrutent avec noblesse cette silhouette...

(je peut ?)
L'enfer, le paradis, aucune différence .
Aucune ...Et pourtant ...Le doute, le sang, la terreur dans les yeux des condamnés ...L'impression de victoire .Puis le sang qui coule, encore chaud dans la gorge ...Le soufre , la lave .Quel bel endroit ...Les pas résonnent , mais ils sont plus rapides que ceux d'un équidé normal .
Une couche noir sous un ciel noire .Aucune étincelle de bonheur dans ses yeux.Seulement de la haine .Une haine profonde,envers ceux qui sont normaux .Les exterminés ?IL le voudrait chaque jour de son existence éternelle ...Comparons cette haine a une immense mer noire , sans vague plate .Seule le désir du carnage peut agiter les remous profonds de cette haine remontant a longtemps .Même avant d'avoir été mordu il les haïssait .
Ils étaient trop simples .Elle , elle le comprenait.Mais elle n'était plus là .Alors maintenant , il faut vivre dans la mort .La lune, blanche regarde ses fervents amis de l'ombre .Il n'aime pas le soleil .Bien trop chaud .Pas assez froid .

Il avance, encore et toujours .
Ila faim .Il a fait un long voyage avant d'arriver ici .Maintenant , il veut sentir le gout du sang dans la bouche .Le hurlement muet s'échapant des corps .Oh oui, il en a vu des victimes .Toutes la même expression d'horreur .Et pourtant il leur offre la délivrance .Plus de vie si banale , ennuyeuse .Sa vie tourne a une habitude de carnage rythmée par ses pas .
Il les tuera tous ...J'usqu'au dernier ...

DarkStorm...Car tel était son nom vit une forme .
Mais vite il comprit .
*On dirait que je ne suis pas le seulo vampire ici ...*
Il se tint coi , observant cet intrus dans son monde de remous et de colére .
Mais la silhouette lui inspiré une sorte de respect maladif qu'il ne supportait pas .Ses yeux se fermérent un instant .Il fallait qu'il s'extirpe des ténébres qui l'entouraient .

( Euh. C'est un Pv... -_- Ben, tant pis, j'en referai un autre. )

(oh pardon !!tu veut que je supprime ??)

( Ecoute, je vais transformer celui-ci en DarkStorm & Ashi' et j'en referai un autre. D'accord ? Comme ça tu n'as pas écrit pour rien. =) )

(d'accord, encore dsl)

( Mais, non ne t'inquiète pas. Wink

)

Une bulle énorme éclata à la lueur d'un rayon de lune, dévoilant derrière ses éclats lisses et parfaits, une silhouette qui voilait sur le sol une ombre majestueuse d'un noir de jais, qui ne pouvait inspirer que la crainte. Or, Lui, la Peur, il l'avait laissée dans le gouffre, alors qu'il s'enfonçait dans le puit de l'éternité. Il avait abandonné tous ces sentiments futils qui bouleversent les vies des simples petits êtres mortels qui trépassent au moindre regard doré. Cette robe noire il ne la portait pas, non il était d'un gris si fort et puissant qu'il inspirait à lui seul par sa manière de se mouver, ses mots qui résonnent en sa gorge assoifée de sang, ses sabots qui fouillent de manière chaotique le sable rougeâtre d'un sol perdu de vie, inspirait la Terreur chez les chevaux, mais le Respect chez les vampires. Valeur, très difficilement accessible aux êtres sans vie, qui ont délaissé les fils conductueurs de la Vie, leur déguisement de marionnette dirigée par un Dieu ringard, non, une Déesse, qui n'avait pas su trancher entre l'amour et la mort...
Bref, en un regard, l'Affreux comprit les émotions mortes de cet inconnu. Un vampire, apparement étranger aux yeux de Lui. Lui. Mais Qui ? Le Manipulateur en Maître. L'Instrument de la Mort. Ashitaka. Le Maître des Vampires, celui qui possède le droit de transformer les chevaux et de manipuler pas son pouvoir ses esclaves. Un sourire mesquin se voila sur son visage, le Maître resta de marbre, gardant la tête haute, l'encolure arquée. Un souffle chaud, levé par la température s'éleva de la lave. Il ne bougera pas, non, il est le Maître, c'est aux autres de s'incliner devant Lui, celui qui lança un mince mouvement de tête afin d'éviter cet inconnu dans la gueule du loup...

» C'est tellement beau PV Sarayane
» Pourquoi toute cette haine & ces question ? Pourquoi es-tu mort ici, Père ? [ Pv Calico ]