SAYANA Werdys.
F0NDATRiiCE.
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Feuille de personnage
[ Relati0n. ]:
[ Clan. ]: Celui des êtres purs, des chevaux.
[ P0uv0ir. ]: Je te glace avec mon eau, le seul élément franc.. ♥ Je lis en ton esprit tel que je peux te manipuler, aies peur de Moi, tant que tu ne m
 | Sujet: Quelques larmes, dans une vie... ( Libre. )  Mer 24 Juin - 18:05 | |
| >>. Quelques larmes, dans une vie...
Libre.
Musique 
>>.Suis ton coeur, pour que ton visage brille durant le temps de ta vie.
Mais où en était sa vie à elle ? Nulle part, juste accrocher à un souvenir et une rencontre. Aucune contrée désertique, tropicale, ou non à vivre. Aucun parent, juste un monde à elle. Désirait-elle mettre un point à son histoire ? Parfois oui, mais elle pense parfois non, lorsqu'elle regarde la Lune, deux visages se dessinent, tout deux loins, très loin, mais rien ne se perd, tout se gagne. Tant de proverbes banales, qui ne reflétaient rien pour elle, la Déesse étoilée d'une robe blanchâtre, oubliée dans ce monde infame où chaque souvenir est une perle rare telles celles qui roulent sur son visage écarlates. Renfloué le sanglot à tout jamais ? Non, juste évadé un court instant. Son coeur frappa sa poitrine mais pourtant, la Demoiselle tient, juste pour eux. Le Soleil, balaye de ses rayons attristés le cors de la Jument argentée, debout, oubliée dans cette contrée infâme, tentant de réchauffer ce petit coeur, afin de rendre ce visage brillant.
Le Soleil enlace son corps essayant d'évader ce mal qui ronge la silhouette, mais impossible, la brise se relève, effleure ses prunelles emportant avec elle ses larmes déroulaient sur ses joues, celle-ci fut rejetée dans le gouffre profond de la Demoiselle. L'herbe verte apparaissant sous le regard de la jument fade tentait de chatouiller les sabots argentés qui penaient à rester droit sur ce monde, mais rien à y faire. Délicatement, dans la Plaine, dont la jument ne parvenait à voir l'horizon, un souffle se leva, émanant d'un coeur. Eole, envellopa le monde d'un air frais, accompagné d'une mélodie envoutante, charmeuse, voulant inviter la Demoiselle dans quelques pas de danse. La Déesse, recula de quelques pas, repoussant cet ami qui lui était devenu inconnu, un de ses sabots se prirent dans une branche, son corps s'affala sur le sol, dans un bruit sourd, dans les coquelicots couleurs de la mort. L'Impératrice tenta de fermer les yeux, impossible, embuée par les larmes qui surgissaient de son coeur...
Sa chute se termina, ici, dans cette plaine, un dernier mot s'évada de son coeur brisé qui remettrait du temps à se recoller. Le sanglot éclata, allongée, la Déesse ne bougea pas, laissant ses douleurs s'évadaient, ne désirant plus de présence d'éléments, mais d'un être ou deux...
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